Sveta Velikanova a écrit une telle critique de mon livre “Le temps pour la pluie” qu’il s’agit en soi d’un ouvrage distinct sur Paris, les rêves et l’amour. Je suis heureuse que mon livre soit entre de bonnes mains !
Bonjour !
#lephénixblanc #lestempspourlapluie
En acceptant un cadeau d’Olga de Benoist, je savais que je trouverais le temps, après l’agitation de Paris, de lire son livre, Le temps pour la pluie!
Je l’ai lu, en restant avec moi-même, en regardant et en écoutant attentivement la voix étonnante, différente de celle de n’importe qui d’autre, de la beauté parisienne ardente avec l’énergie ensoleillée cachée dans ses yeux brûlants.
J’ai arrêté le temps et écouté Olga, plongé dans le monde magique et subtil de l’écrivain.
Je vis très différemment. J’écris d’une manière complètement différente. Et c’est pour cela que j’ai apprécié encore plus le livre, en me laissant lentement envelopper par les fils aériens des histoires qui se déroulent lentement sur les pages du livre d’Olya. Les histoires, comme la vie elle-même, se produisent, se transformant par les circonstances en quelque chose d’autre que ce que nous avions rêvé et souhaité, mais confirmant obstinément encore et encore que la vie elle-même dicte ses propres règles, nous rejoignant ou nous séparant.
De nombreux détails subtils, talentueux et artistiques s’ajoutent à l’image de Paris, où tout et chacun a sa place, mais où il est si difficile de trouver le bonheur. Et même si j’attends que les bons sorciers interviennent, il se passe quelque chose qui arrive inévitablement à chacun d’entre nous. Nous appelons cela une expérience, nous hochons la tête d’un air compréhensif et nous semblons avoir appris à faire face depuis longtemps… mais en réalité, ce n’est pas le cas. Nous n’apprenons jamais à nous débarrasser du rêve, et c’est une personne à part entière, qui nous observe au plus profond de nous-mêmes grâce aux histoires d’Olya.
Ce n’est donc pas un hasard si nous regardons et écoutons Le temps pour la pluie. Car il est rare que quelqu’un, et peut-être seulement le meilleur d’entre nous, puisse rencontrer son destin ou son amour et ne pas le perdre.
Olya, j’ai lu le livre en me pâmant de tendresse et de joie, en m’arrêtant pour vivre le plus profondément possible les détails heureux ou drôles, ou pour pleurer correctement les personnages, pour respirer la saveur unique des histoires parisiennes.
J’ai apprécié chaque ligne comme j’apprécie les gouttes de pluie à San Diego, roulant sur les mots comme des sucettes au goût rafraîchissant, rappelant une amourette de jeunesse et la fraîcheur de la découverte du monde. Merci pour ces rencontres pluvieuses, pour l’opportunité de vivre avec vous de nombreux moments de joie. Ton livre va maintenant commencer son voyage entre les mains de mes amis californiens. La joie doit être partagée.
Amour et joie. Bonjour à tous.